L’étreinte parfaite

Comme un dialogue intime entre deux forces de la nature, L’étreinte parfaite met en scène l’union poétique du chêne et du lierre. Le fût solide, colonne de stabilité, se laisse enlacer par les sinuosités du lierre, figure du mouvement, de l’attachement et du lien vivant.

Dans cette œuvre, Béji Artmoz transcende la matière végétale par la couleur. Chaque teinte vibre comme une émotion, révélant les affinités chromatiques chères à l’artiste. Le geste est à la fois spontané et maîtrisé, célébrant l’harmonie organique entre force et tendresse, ancrage et expansion.

Une ode à la nature comme à l’amour, où chaque étreinte devient acte de création.